Là, vous allez penser « il commence à nous pomper l’air avec la crise ». D’accord mais en attendant c’est quand même le fruit de notre travail qu’on nous pompe tous les jours.
Reportez-vous à notre article du 24 avril 2009 (VIENS FAIRE DES BULLES, …). Sans être voyant il était déjà prévisible que Sarkozy pouvait bien agiter ses petits bras tant qu’il pouvait et la suite nous a donné raison.
Le cynisme des banquiers dépasse toutes nos espérances mais ce n’est rien à coté des LBO.
Un LBO c’est quoi ? Comment dire… un ENORME machin et même avec de la pommade…
Rappelez-vous les subprimes et la dépression causée par les ménages américains en défaut de pouvoir payer leurs dettes, en conséquence l’effondrement des produits financiers dérivés et la crise mondiale qui a suivi.
Les LBO* (Leverage Buy Out) c’est 60 milliards d’euros de prêts accordés à des entreprises rachetées par des fonds d’investissements, eux-mêmes financés par les banques. Les entreprises devaient rembourser cette dette grâce à leurs profits liés à la croissance, mais la croissance… Quelle croissance ?
BNP PARIBAS se dit serein « C’est un portefeuille de qualité » dixit son Directeur Général (8,9 milliards d’euros en opérations LBO).
Nous sommes évidemment très confiants dans les paroles apaisantes des experts et autres consultants économiques qui rodent dans les couloirs des banques en nous assurant que tout va bien. On a déjà vu, merci.
Reportez-vous à notre article du 24 avril 2009 (VIENS FAIRE DES BULLES, …). Sans être voyant il était déjà prévisible que Sarkozy pouvait bien agiter ses petits bras tant qu’il pouvait et la suite nous a donné raison.
Le cynisme des banquiers dépasse toutes nos espérances mais ce n’est rien à coté des LBO.
Un LBO c’est quoi ? Comment dire… un ENORME machin et même avec de la pommade…
Rappelez-vous les subprimes et la dépression causée par les ménages américains en défaut de pouvoir payer leurs dettes, en conséquence l’effondrement des produits financiers dérivés et la crise mondiale qui a suivi.
Les LBO* (Leverage Buy Out) c’est 60 milliards d’euros de prêts accordés à des entreprises rachetées par des fonds d’investissements, eux-mêmes financés par les banques. Les entreprises devaient rembourser cette dette grâce à leurs profits liés à la croissance, mais la croissance… Quelle croissance ?
BNP PARIBAS se dit serein « C’est un portefeuille de qualité » dixit son Directeur Général (8,9 milliards d’euros en opérations LBO).
Nous sommes évidemment très confiants dans les paroles apaisantes des experts et autres consultants économiques qui rodent dans les couloirs des banques en nous assurant que tout va bien. On a déjà vu, merci.
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*LBO en français : reprise avec effet de levier.
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