JOHNNY pour les cinq soldats morts en Afghanistan...

Autre époque autre temps même souffrance toujours aussi absurde et cruelle ! Hommage.

Un des compères contre-attaque...

 
Ce n'était pas difficile à anticiper ! A trop chatouiller l'adversaire, les "Sylvain Sylvette" ont fait sortir un des compères du bois. Le Loup ou le Renard ?...

Derrière ce que nous vous présentons comme une histoire qui amuse les enfants se cache une véritable situation dramatique que nous vous laissons découvrir en lisant ce document distribué aujourd'hui par le Conseil Général Daniel Guérin... Bonne lecture à tous !


En voici quelques extraits : "Monsieur Gonzales n'a jamais accepté l'élection d'un conseiller général de gauche" ; "Un Maire devrait respecter, unir, rassembler. Pas diviser, opposer, calomnier" ; "Villeneuve-le-roi est une ville à dimension humaine. Le respect de chacun dans la diversité des opinions et des sensibilités, l'écoute, le dialogue, sont au cœur de notre histoire et de nos valeurs. Je ne laisserai pas plus longtemps Monsieur Gonzales imposer dans notre commune, avec l'argent public, un climat de calomnies, d'affrontement, de tension permanente, d'agressivité et de division."


"Sylvain Sylvette" et les compères fêteront-ils le 14 juillet ensemble ?
Pourvu qu'ils ne mettent pas le feu ! c'est tout ce qu'on leur demande !

Les Sylvain et Sylvette de Villeneuve le Roi...

Qui n'a pas souvenir de ce petit meunier, de sa fermière et de "Cui-Cui" (les petits oiseaux) qui pendant des années n'ont eu de cesse de se faire menacer par 4 compères : un loup, qui fout la trouille, un renard rusé comme... un renard, un sanglier et un ours. 

Et bien l'histoire continue ! Preuve en est : le sentiment de persécution demeure (symptôme d'une paranoïa avancée) et nos "Sylvain Sylvette de Villeneuve" s'en plaignent et craignent toujours les compères -qui ne sont plus que trois-. Nous reproduisons pour vous une lettre signée "les Élus de la majorité municipale" que nous avons choisi d'appeler ici "Les Sylvain Sylvette de Villeneuve".

L'histoire ne se passe pas à la campagne vous l'avez compris, mais dans une ville conviviale et chaleureuse où il fait bon vivre, comme ils disent, où pourtant "les Sylvain Sylvette de Villeneuve" ne manquent pas d'air ! Depuis bientôt deux mandats qu'ils sont au pouvoir et à défaut de trouver des éléments positifs qu'ils pourraient mettre en avant, ils décident d'attaquer les compères.
Faut dire que pendant ce temps, ils n'évoquent pas les dangereux incendies qui se sont déclarés ces dernières semaines dans une zone industrielle presque déserte, une délocalisation d'un site Sevezo dont on ne parle plus puisque maintenant l'accent est mis sur la suppression de la plateforme d'Orly.
Ils parlent d'un triste bilan et d'excuses qui devraient être adressées aux Villenevois... Seraient-ils entrain de compter les pierres qui sont dans leur jardin ?
Depuis plus de 70 ans que Sylvain et Sylvette -les vrais- existent si ceux de Villeneuve date de la même époque, alors viendra le temps d'un véritable changement pour une politique plus jeune, plus dynamique et un peu plus objective.

AEROPORT D'ORLY "une plaie économique !"

Dans "Enquêtes Challenges" du 7 juillet 2011, quid du tourisme qui représente 10% du PIB d'Ile de France, de la suppression d'emplois que la fermeture de l'aéroport entrainerait (26700 emplois directs, 80000 si l'on compte les induits, Didier Gonzales ne lâche pas prise : trouve-t-il l'idée absurde de délocaliser la plateforme ?.. "Ce n'est pas absurde du tout! jure Didier Gonzales. Cet aéroport est une plaie économique. Un non-sens absolu. Orly n'offre que 17 emplois par hectare. La ville de Nancy, qui occupe la même superficie, offre 40 emplois par hectare. On pourrait en faire quelque chose de beaucoup plus intéressant. Y construire des logements, par exemple, du Haussmann: tous les emplois sont à l'ouest, les logements à l'est, il serait enfin possible d'équilibrer, grâce à 1.529 hectares soudain libérées, à 14 kilomètres de Paris !".

Pourquoi ne pas installer Orly au Havre...

" C'est une blague du 1er avril que l'on fait le 1er juillet! rigole Antoine Rufenacht, l'ex-maire du Havre, qui suit toujours les questions du Grand Paris en tant que président de l'agglomération havraise. Il n'y a pas de foncier disponible, il faudrait détruire trois communes. La configuration de la ville rend une telle éventualité impossible. Cela n'a aucun sens"

Voir article dont sont issus ces extraits

A lire Absolument cet autre article... 

 

AVIS DE RECHERCHE

Un HOMME, un vrai, se sentant menacé en France, vient de quitter les Etats Unis pour se réfugier au MEXIQUE...

Nous ne possédons que peu d'éléments mais si vous le croisez, vous le reconnaitrez !