mardi 23 avril 2013

SI DIEU EXISTE, J’ESPERE QU’IL A UNE BONNE EXCUSE (Woody Allen)


La politique ne nous agite plus, tant l’ambiance est consternante. Que dire qui ne soit déjà dit dans tous les médias dont certains se croient tellement autorisés tel les moutons de Panurge à reprendre les informations de leurs confrères qu’ils ont vilipendés précédemment.

Alors nous sortons de notre léthargie, une fois encore avec beaucoup de tristesse, pour déplorer la disparition d’un homme de valeur.

Gilbert Flament vient de quitter sa famille, sa communauté, ses amis ; à tous nous leur adressons toute nos pensées et notre soutien amical dans cette épreuve douloureuse.

Gilbert venait toujours à la rencontre des gens avec un large sourire, disponible et à l’écoute des autres ; des qualités indispensables dans la mission qui était la sienne. Ce n’était jamais feint, toujours naturel, la grandeur d’un homme qui a voué son existence au service de ses concitoyens.

Jean-Louis doit déjà lui dire : « Déjà ? Alors qu’il y avait tant de boulot à faire, tu sais je pouvais attendre encore un peu. Bon, viens je vais te montrer ce qu’on a commencé ici, tu ne vas pas t’ennuyer… »

Gilbert, Jean-Louis, nous attendons des résultats… mais à vous c’est inutile de le dire, vous ne nous avez jamais déçus.