mercredi 28 avril 2010

MAREE NOIRE dans le Golfe du Mexique

"Avec la fuite quotidienne de 159 000 litres* de pétrole, la nappe d'hydrocarbure atteint désormais 965 km de circonférence et se trouve à moins de 30 km des côtes." extrait du Parisien du 28 avril
*Depuis cet article, la fuite sous évaluée est aujourd'hui -30 avril- estimée à 800 000 litres.
Autrement dit c'était une nappe dont la circonférence égalait la largeur Est-Ouest de la France à sa plus grande distance soit du Finistère à L'Alsace ce qui correspondait tout de même à un cercle d'environ 300 kms de diamètre. Aujourd'hui la fuite s'étale sur une surface comme deux fois la Belgique.

Ce n'est pas une catastrophe écologique majeure provoquée par la nature qui se déchaine ou un quelconque évènement imprévisible auquel l'homme doit faire face. NON ! c'est une catastrophe de plus dont l'homme lui-même est à l'origine. Tout laisse à penser que pour des raisons de profit, tous les moyens pour éviter cela n'ont pas été envisagés. 

Demain une centrale nucléaire ???  


2 commentaires:

Anonyme a dit…

Il n'était pas difficile de penser l'Homme capable du meilleur comme du pire, il nous montre de moins en moins le meilleur qui n'a jamais crevé les yeux quant au pire il sait faire et ne cesse de le prouver.
Eric DOUCELANCE

Anonyme a dit…

Les USA punis et piégés par ou ils ont péché mais retiendront-ils la leçon ?
Il y a peu de chance, Barak Obama et son gouvernement viennent d'autoriser des forages en grande profondeur dans la région de l'Alaska.
Il faut savoir que le pétrole s'échappe d'un forage situé à 1500m de profondeur et personne ne sait descendre aussi profond pour mettre un bouchon.
Les crocodiles de la Louisiane vont avoir du pétrole entre les dents d'ici quelques jours.
Hélas, peut-être faut-il de telles catastrophes, qu'elles soient naturelles (en Islande) ou provoquées par l'homme pour qu'enfin les questions liées à notre modèle économique affleure aux oreilles de nos dirigeants et qu'ils écoutent les gens raisonnables.
La quête du profit emporte tout sur son passage et nous ne savons plus comment nous en sortir. Nous sommes piégés et pour un bon moment, à moins que... la réponse appartient à tous ceux qui font de leur vie quotidienne un combat contre les excès du capitalisme et il viendra bien un jour ou ils seront vraiment excédés.