Lors de la campagne électorale pour les Présidentielles, Nicolas Sarkozy tenait le discours suivant :
« Ma conviction c’est qu’une des questions centrales pour la France c’est celle du pouvoir d’achat des français.
Les salaires sont trop bas, les revenus sont trop faibles et moi je veux parler à la France qui travaille ! Celle qu’a un métier, qui a un appartement, qu’a une famille, qu’a une voiture, qui travaille dur et qui trouve pourtant qu’on n’arrive pas à joindre les deux bouts.
C’est à cette France là que je veux m’adresser ! »
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Je n’ai rien compris, vocabulaire trop compliqué, concept trop élitiste.
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Heureusement, une fois élu et certainement bien conseillé par son entourage, quelques mois plus tard Nicolas Sarkozy utilisait un langage plus compréhensif :
« Alors… s’agissant d’ailleurs du pouvoir d’achat, qu’est-ce que vous attendez d’moi, que j’vide des caisses qui sont déjà vides ? Ou j’donne des ordres à des entreprises à qui j’ai pas donné… à donner d’ordres ?
Si c’est ça vot’conception de la politique, ben… on s’trompe, on parle pas d’la même chose. Réduire le débat politique français à la seule question du pouvoir d’achat c’t’absurde ! »
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Avec des mots simples, accessibles à tous, on comprend mieux, non ?
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« Ma conviction c’est qu’une des questions centrales pour la France c’est celle du pouvoir d’achat des français.
Les salaires sont trop bas, les revenus sont trop faibles et moi je veux parler à la France qui travaille ! Celle qu’a un métier, qui a un appartement, qu’a une famille, qu’a une voiture, qui travaille dur et qui trouve pourtant qu’on n’arrive pas à joindre les deux bouts.
C’est à cette France là que je veux m’adresser ! »
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Je n’ai rien compris, vocabulaire trop compliqué, concept trop élitiste.
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Heureusement, une fois élu et certainement bien conseillé par son entourage, quelques mois plus tard Nicolas Sarkozy utilisait un langage plus compréhensif :
« Alors… s’agissant d’ailleurs du pouvoir d’achat, qu’est-ce que vous attendez d’moi, que j’vide des caisses qui sont déjà vides ? Ou j’donne des ordres à des entreprises à qui j’ai pas donné… à donner d’ordres ?
Si c’est ça vot’conception de la politique, ben… on s’trompe, on parle pas d’la même chose. Réduire le débat politique français à la seule question du pouvoir d’achat c’t’absurde ! »
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Avec des mots simples, accessibles à tous, on comprend mieux, non ?
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2 commentaires:
Bravo pour cette petite piqûre de rappel! toujours utile par les temps qui courent...
Et puis quel style époustouflant!Un président qui fait honneur à la France !
Là, je vous trouve un peu durs. Vous semblez oublier qu'il a quand même fait un geste fort en instaurant le bouclier fiscal qui, bien sûr, a aidé à vider les caisses...
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